C’est arrive d’un coup
d’un seul. Cela faisait bien un moment que j’y songeais mais je
n’arrivais pas à sauter le pas : aujourd’hui je creé mon blog. A force
de consulter ceux des autres ca devait bien finir par arriver. Tout
finit par arriver a dit ou ecrit un personnage célèbre. Cruelle
désillusion ou fatalisme ? Les deux sont acceptables pourvu que ce ne
soit pas une finalité ou que cela ne guide pas son chemin de vie.
Remarquez que c’est comme les "nouvelles technologies de l’information
et de la communication", ces fameuses NTIC dont certains magazines
regorgent. Non la vrai question est bien celle de savoir si il vaut
mieux vivre avec ou s’arcbouter à vivre contre. Oui, vivre contre peut
paraître facile au premier abord. On peut très bien se passer
d’ordinateur, de lecteur MP3, de téléphone portable, de lecteur DIVX,
de WebCam, etc... Sans aucun problème, on peut vivre sans. Est-ce à
dire que l’on refuse la modernité, qu’on ne veut pas y passer comme les
autres ou plus simplement une façon d’avouer que tout cela reste bien
incompréhensible... ? ? ? Au final, le plaisir est toujours le même de
se plonger dans le journal du jour, de "déguster" une lettre reçue au
courrier du jour, de "papoter" tranquillement au pied de son chez-soi.
Alors, quelle différence avec ou sans, pour ou contre ? Cela semble du
pareil au même. Vivre avec son temps, n’est-ce pas un formidable défi ?
Rester curieux de tout, s’interesser à tout, prendre le temps de
découvrir ceci ou cela,... il y a la matière à discuter, écrire,...
philosopher,... bloguer... Oui je crois que vivre avec c’est un peu se
rapprocher des autres, se rendre plus disponible, plus ouvert. C’est
sûr que correspondre pas SMS avec tel ou tel n’est pas tout à fait la
même chose que lui envoyer un mail et encore différent que de l’appeler
sur son "portable". Mais dans ses signes, il peut aussi deviner que
vous êtes là, disponible, prêt à prendre du temps, à lui offrir un
espace de parole. En ces temps de solitude, de désarroi, de doute,
c’est certainement un des moyens de retisser le lien social, de renouer
les liens, de réapprendre la convivialité. Alors oui vivre avec est
bien plus doux que vivre contre ! ! !